La première fois que j’ai passé la capuche et regardé à travers le masque, je n’ai pas vu une héroïne — j’ai vu une femme qui se cache, qui doute, qui veut savoir jusqu’où elle peut aller. La combinaison en latex, inspirée de Spider-Gwen, a transformé ce moment en un jeu entre force et fragilité.
Le parking souterrain est devenu ma scène. Chaque claquement de mes pointes contre la rampe résonnait comme un rappel : la grâce a parfois un prix. Avancer n’était pas simple ; la pente forçait le corps à lutter pour garder l’équilibre. C’est pourtant ce que je cherche — perdre un peu le contrôle, puis le reprendre. Je rêve de séances encore plus contraignantes, plus serrées, où chaque mouvement devient un acte de volonté et de beauté contenue.





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